Les 25 pires valeurs de revente après 5 ans

À l’exception de bolides ultra-élitistes ou d’une rareté sans borne, une automobile est rarement, sinon jamais un placement. On vous parle souvent de valeur de revente comme élément déterminant dans le processus d’achat. Qu’est-ce que la valeur de revente? C’est le montant ou le pourcentage de la valeur initiale que vaut votre véhicule après une période donnée. D’une manière générale, on établit cette valeur après une période de 5 ans, soit après la fin du terme que les gens choisissent habituellement pour faire le paiement de leur véhicule. La publication américaine iSeeCars.com a mené une étude aux États-Unis sur les pires valeurs après une période de 5 ans.

L’entreprise tire des conclusions intéressantes de son étude de 2022. Dans le lot, alors que nous sommes en pleine pénurie de véhicules électriques au Québec, aux États-Unis, ce sont les véhicules électriques qui ont la plus forte moyenne de dépréciation à 49,1 %. C’est très bas, mais il y a une amélioration notable face à la situation de 2019 où le même calcul donnait une moyenne de dépréciation de 67,1 %. Il faut dire que, en 2019, l’offre de véhicules électriques était plus limitée qu’aujourd’hui, et l’engouement, certainement moins important qu’aujourd’hui. Sans grande surprise, ce sont les camionnettes qui ont la meilleure rétention de valeur avec une perte limitée à 34,8 %. Les hybrides s’en tirent aussi très bien avec une moyenne de 37,4 %. La moyenne totale de l’industrie de l’automobile étasunienne est de 38,8 %. En 2019, elle était de 49,6 %.

Il s’agit là d’une liste qui couvre le marché des États-Unis et non pas du Canada. Bien qu’il soit fort possible d’y voir des différences, les tendances demeurent presque les mêmes chez nous. Notez qu’on retrouve presque exclusivement des véhicules de luxe et une seule voiture électrique. Voici donc la liste des produits qu’il est recommandé d’éviter du point de vue de sa valeur financière.

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