Aujourd’hui, chez Mercedes-Benz, on dit au revoir au GLK et on a accueilli le GLC. Ce dernier a été présenté en première mondiale en Allemagne.
À l’international, le GLC sera livrable avec une série de motorisations à essence ou diesel. Pour les États-Unis - et le Canada, sans doute -, un seul moteur ne se retrouvera au catalogue. Comme la Mercedes-Benz C300, il sera muni par le 4-cylindres turbocompressé de 2,0 litres développant 241 chevaux-vapeur et 273 livres-pieds de couple. C’est sans surprise que nous verrions s’ajouter à la gamme un V6 bi-turbo
Bien qu’il ne soit disponible avec seulement deux roues motrices, il y a fort à parier que beaucoup de clients cocheront l’option 4Matic qui est sans contredit un système efficace et apprécié des conducteurs notamment québécois.
En ce qui concerne les feux arrière, ils ne peuvent renier la marque de la voiture à laquelle ils appartiennent. En effet, on reconnaît l’air de famille qu’ils partagent avec la Classe S coupé.
Par ailleurs, on nous a aussi informés que l’empattement a été allongé de 11,7 centimètres. Ce faisant, les passagers de la seconde rangée peuvent bénéficier de 5,6 centimètres supplémentaires.
Pour ceux et celles qui craignent toujours de manquer de puissance, rassurez-vous, il est fort probable que la division AMG de Mercedes-Benz développe une version pimentée du GLC.
L’attente ne sera pas des plus longues étant donné qu’on prévoit que les premiers exemplaires seront livrés aux concessionnaires dès novembre prochain pour les États-Unis. La situation sera assurément similaire pour le Canada.
Première mondiale du Mercedes-Benz GLC 2016 : au revoir, GLK
