Quand on dit que la pandémie a creusé le fossé entre les pauvres et les riches, les chiffres de ventes de Rolls-Royce tendent à le confirmer. Le constructeur britannique enregistre son meilleur trimestre en 116 ans.
Est-ce que c’est ce qu’on appelle la misère des riches ? Une chose est certaine, la pandémie de la COVID-19 n’a pas freiné les clients de Rolls-Royce. Du 1er janvier au 31 mars 2021, le constructeur britannique a vendu 1 380 véhicules. Si l’on fait une comparaison avec l’année 2020, Rolls-Royce connaît une hausse de 62 % ; mais ce qui est le plus significatif, c’est le meilleur trimestre de ventes en 116 ans d’histoire pour la « Flying Lady ».
Il s’agit d’un début d’année très encourageant pour le patron de Rolls-Royce. Torsen Müller-Ötvos se montre très confiant : « Avec un livret de réservations solide pour toute la gamme et plus particulièrement pour la nouvelle Ghost et le Cullinan, les ventes sont en augmentation dans les marchés clefs. Les commandes sur mesure atteignent des niveaux record. Notre industrie est en excellente forme. »
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Quels sont les endroits où l’on s’arrache les Rolls-Royce ? C’est simple, les États-Unis sont toujours en tête, mais la Chine suit de très près, tout comme toute la région de l’Asie-Pacifique.
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