Dans la foulée de l’introduction de la nouvelle génération de la Prius en 2016, on découvre à New York la deuxième étape de l’électrification de cette gamme avec la Toyota Prius Prime 2017, la version enfichable « Plug-in ».
Pour assurer une distinction entre la Prius régulière et la Prime, Toyota choisit de lui donner une carrosserie inédite. Elle se démarque par une présentation avant plus sage que la Prius autrement critiquée pour son étrange regard. En matière de design, la Prime fait le pont entre la Prius et la voiture à hydrogène Mirai. À l’arrière, on délaisse les feux verticaux pour une approche plus conservatrice, mais tout aussi moderne. Les DEL assurent un éclairage puissant et distinctif.
L’aspect le plus important est la motorisation. On récupère le quatre cylindres de 1,8 litre de la Prius. La batterie gagne en grosseur à 8,8 kWh. Toyota annonce une autonomie de 35 kilomètres en mode purement électrique. Face à la Chevrolet Volt, sa plus proche compétitrice, la Prime est en recul. Du côté de l’Américaine, c’est 80 kilomètres sans essence. On s’attendait à mieux de la part de Toyota. L’entreprise affirme toutefois que la consommation moyenne de la voiture table à seulement 1,96 litre/100km.
Pour le moment, Toyota n’a pas divulgué la grille de tarif. On confirme que la Prime sera sur le marché à l’automne 2016.
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