Une bonne et une moins bonne nouvelle nous sont parvenues hier à propos de la version RS de la Ford Focus.
La bonne, c’est que l’intérêt pour la variante vitaminée de la Focus est si fort que Ford n’arrive pas à répondre à la demande. Il faut comprendre que le modèle n’est assemblé qu’à un seul endroit, soit une usine située à Saarlouis, en Allemagne.
La moins bonne, c’est que plusieurs consommateurs qui ont déjà commandé leur modèle 2016 seront forcés d’attendre le début de la production des unités 2017 avant d’espérer recevoir leur exemplaire. En quoi est-ce que cela représente une mauvaise nouvelle? Il y a l’attente, bien sûr, mais aussi le fait que plusieurs espéraient certainement posséder une édition issue de la première année de production. Considérant que cette dernière pourrait être appelée à prendre de la valeur lorsqu’elle sera considérée comme voiture de collection, il y aura peut-être un manque à gagner à ce chapitre.
La production des Focus RS 2017 va commencer en octobre. Ford a promis que les premières versions qui sortiront de l’usine iraient à ceux qui ont commandé des modèles 2016 et qui seront toujours en attente de ces derniers à ce moment-là.
Certains se souviendront que la situation avait été similaire avec les versions Hellcat des Dodge Challenger et Charger. En réponse à cette problématique, on avait doublé la production l’année suivante. À ce propos, on n’a rien voulu confirmer chez Ford quant au rythme de naissance des produits de la cuvée 2017.
Chose certaine, si l’engouement continue envers ce modèle, Ford n’aura pas le choix de bouger.
Rappelons en terminant qu’avec ses 350 chevaux, la Focus RS est une bombe capable d’effacer le 0-100 km/h en moins de cinq secondes. Son prix de 47 969 $ n’est pas à la portée de toutes les bourses, mais pour celui à la recherche de performances pures, il demeure compétitif. Aux États-Unis, la note de départ est de 36 605 $.
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