De l’aveu même de Carlos Ghosn, le Salon de l’auto de Détroit est majeur pour Infiniti. Non seulement on présente une version rafraichie du très populaire QX60, on officialise le QX30 et l’on apporte de nouvelles variantes pour la Q50. Toutefois, ce qui était sur toutes les lèvres des exécutifs de Nissan/Infiniti était l’introduction du coupé Infiniti Q60.
On revient donc avec une troisième génération de coupé chez le constructeur japonais. Une fois de plus, cette configuration se distingue chez Infiniti par une ligne élancée plus sportive et gracieuse que jamais. On suit à la perfection les orientations introduites il y a exactement un an sur le concept du même nom. On retrouve évidemment tous les éléments de design propre à la main d’Alfons Albaïsa, le grand manitou du style de la division de luxe.
Toutefois, au-delà de la prestance, c’est une occasion de lancer une nouvelle motorisation qui trouvera aussi sa voie dans la Q50. On découvre donc un V6 3,0 litres turbocompressé de 400 chevaux. De plus, un autre V6 offrira une puissance « facile » de 300 ch. alors que le modèle de base se contentera du quatre cylindres de 2,0 litres partagé avec Mercedes-Benz. On ne nous dévoile pas les performances, mais on imagine bien qu’elles seront au rendez-vous.
Il faut noter que l’on verra en plus de la version à propulsion une intégrale sur l’ensemble de la gamme.
Sur le plan des technologies, on parle autant de la Q60 que de la Q50. Nous aurons onc des évolutions de différents systèmes d’assistance et d’aide à la conduite.
Pour plus de variété, les acheteurs pourront opter pour différents niveaux d’équipement et de personnalité pour leur Infiniti. On découvre donc les Blue Sport pour les versions hybrides, Silver Sport pour les modèles plus luxueux, mais aussi plus conventionnels et finalement le Red Sport qui joue directement dans le dynamisme.
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