Premier coup d’œil sur le Hyundai Kona 2024

Le Hyundai Kona est le VUS sous-compact le plus populaire sur le marché du Québec, devançant des modèles bien établis comme le Subaru Crosstrek ou le Honda HR-V. Après six ans sur le marché, le Kona changera pour l’année modèle 2024, avec une nouvelle approche de style, plus de choix mécaniques et Hyundai vient d’en faire le dévoilement directement en Corée du Sud.

Du choix

Le constructeur asiatique affirme que le Hyundai Kona 2024 sera proposé en quatre variantes, à l’image du modèle actuel à l’échelle mondiale : électrique, à combustion, hybride et N Line. Aucuns détails relatifs aux différentes motorisations, ni par rapport à leur disponibilité sur le marché canadien, n’ont été annoncés pour le moment.

Néanmoins, l’approche demeure similaire au modèle actuel, mais les étapes de développement ne le sont pas : le constructeur affirme d’abord avoir commencé à développer la version électrique pour ensuite l’adapter aux versions à moteur thermique, ce qui est inverse à ce qui est fait habituellement. L’idée était que toutes les versions puissent bénéficier de l’apport technologique généralement associé aux véhicules électriques. D’ailleurs, il a pris du galon, avec une longueur augmentée de 150 millimètres et un empattement allongé de 60 millimètres.

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En termes de style, chacune des versions aura son identité. Bien qu’elles aient toutes à l’avant cette barre horizontale qui traverse le véhicule d’un bord à l’autre, l’électrique mettra l’accent sur la « pixélisation » avec plusieurs détails de forme carrée (comme l’IONIQ 5) qui lui seront uniques autant à l’avant qu’à l’arrière. Les versions thermique et hybride auront plutôt des pare-chocs et des tours d’ailes en plastique plus robuste avec de fausses plaques de protection pour améliorer l’apparence. La version N Line, pour sa part, mettra l’accent sur la conduite sportive avec des pare-chocs plus agressifs, des roues de 19 pouces, un échappement double, un aileron et la possibilité d’opter pour un toit et des rétroviseurs noirs.

À bord, la technologie s’impose

L’apparence du tableau de bord n’est pas sortie de nulle part; elle ressemble à s’y méprendre à celle d’autres modèles de la gamme, comme le Palisade ou la Sonata, mais plus précisément l’IONIQ 5. L’instrumentation numérique prend place devant le conducteur, et l’applique dans laquelle elle se trouve se continue vers le centre pour y intégrer l’infodivertissement. Ces deux écrans de 12,3 pouces chacun seront sans doute optionnels. Le levier de vitesse migre de la console à la colonne de direction – à la manière de l’IONIQ 5 – et l’espace semble être dégagé tout autour.

Bien que peu de détails aient été confirmés par le constructeur, il est plausible de croire que l’espace à l’arrière sera amélioré par rapport à la génération actuelle, corrigeant ainsi un de ses défauts. Les dimensions accrues aideront l’espace pour les jambes et les hanches, de même que l’espace de chargement.

Il faudra demeurer patient pour connaître davantage de détails quant aux motorisations, aux versions offertes et à la date d’arrivée sur le marché canadien. Plus de détails arriveront dans les mois à venir.

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