Ferrari présente un nouveau coupé à l’esprit d’une voiture de grand tourisme, la Roma. Proposant un design singulier et un puissant V8, elle s’inspire de la vie à Rome dans les années 1950 et 1960.
Ferrari continue la diversification de sa gamme avec l’ajout d’un coupé de type GT. Pour l’heure, on résiste toujours à la tentation de l’utilitaire sport puisque l’on découvre un bolide aux traits à la fois spectaculaires et d’une impeccable sobriété. Le coupé Roma se veut une réincarnation moderne de la dolce vita des Romains des années 1950 et 1960. Avec une telle affirmation, Ferrari espère inclure dans l’expérience de conduite de la Roma une certaine insouciance et bien naturellement une grande désinvolture.
Sur le plan esthétique, on retrouve bien des blocs optiques inspirés par les Monza SP1 et Monza SP2, mais là cesse toute familiarité avec le reste de la gamme. La calandre vient avec une forte inclinaison vers l’avant. Sa configuration reprend un grillage en coupe-frites, mais avec un style unique à la Roma. Le profil nous permet de découvrir une silhouette particulièrement pure dans son approche. Contrairement à la Tributo ou encore à la 812 Superfast et leur excès, il y a une filiation avec la GT4C Lusso, plus classique. À l’arrière, les deux feux évoluent en se limitant à deux simples bandes de DEL déposées sur le coffre. Bien sûr, quatre pots d’échappement laisseront la musicalité de la mécanique s’échapper.
Dans la cabine, on joue de confort avec une présentation plus conviviale, moins orientée vers la sportivité habituelle de Ferrari. Plus que jamais, on désire offrir un habitacle sympathique et simplifiée pour la conduite de tous les jours. La technologie est partout. On retrouve pas moins de trois écrans à bord : l’instrumentation, le système multimédia central et devant le passager, impossible de ne pas rester connecté. Chaque individu est encerclé par de grandes arches qui délimitent l’espace de chacun.
Au-delà du design, ce qui définit une Ferrari est son cœur. Dans le cas présent, on adopte le V8 turbocompressé de 3,9 litres que l’on connaît de la Portofino, dont la puissance est portée à 612 chevaux contre 600 pour le cabriolet. Le couple se montre aussi généreux à 560 lb-pi. Hautement technologique, le Roma récupère la nouvelle boîte automatique à double embrayage à huit rapports intégrée initialement dans l’hypercar SP90 Stradale. Avec une masse contenue à 1 472 kg, les performances sont au rendez-vous. La Roma boucle le 0-100 km/h en 3,4 secondes et peut atteindre 320 km/h.
La marque reste fidèle à ses habitudes : impossible de connaître le prix de la Roma. La date du début de production n’est pas sur la liste des informations fournies. Bonne nouvelle, la Roma s’inscrit dans la gamme régulière de Ferrari, sa production ne sera techniquement pas limitée à quelques centaines d’exemplaires.
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